Milan et le lac de Côme
La musique du jour
Arctic Monkeys. 505
L’exposition retrospective de Richard Avedon, le photographe préféré de Stéphane, a imposé Milan comme étape sur le chemin du retour.
Milan, nous y avons tous les deux un peu vécu il y a une trentaine d’années, sans y être retournés depuis: on se demande si des souvenirs vont remonter.
En une journée, la visite sera forcément partielle : le coeur historique, où se tient l’exposition au Palazzo Reale, puis Brera et le nouveau quartier ultra moderne. On ne reconnaitra rien, mais les changements sont positifs: moins de voitures, plus de zones piétonnes et un air moins pollué.
Et puis les gens sont beaux, à Milan.
La ville donne des envies de shopping, ce n’est pas la ville de la mode et du design pour rien.
Les pâtes du jour:
Tagliolini cacio e pepe con tartare di gamberi rossi al lime e tartufo nero
Direction le lac de Côme, pour notre dernière nuit italienne.
On décide de quitter Milan assez tôt pour y attraper le coucher du soleil. Après une dizaine de kilomètres (le lac en fait plus de cinquante), les embouteillages se fluidifient et on parcours la petite route côtière parsemée de petits villages et de pontons à bateaux. C’est beau, calme, propet, on se sent plus en Suisse qu’en Italie.
On choisit la route pour rentrer à Paris en faisant au plus court. Un tunnel de 16 km nous permet de traverser les Alpes en un temps record par Lucerne en Suisse. On entrera en France par Bâle, avec même un crochet par l’Allemagne pour éviter les embouteillages.
Notre dernière nuit sera à Epinal.
Mardi 8 novembre, après un beau voyage de 7 semaines, 8 200 km en voiture et 500 km à pied, on est de retour le teint bronzé, le mollet musclé et la tête remplie d’images.Notre dernière nuit sera à Epinal.